La Pastorale à Fénelon Saint-Joseph - Site Aubière
La Pastorale à Fénelon Saint-Joseph - Site Aubière

La Pastorale à Fénelon Saint-Joseph - Site Aubière

« Comment vivre de l’esprit de l’évangile dans notre établissement ? »

Dans une manière de concevoir la personne Humaine

Si parfois les êtres désespèrent de leurs congénères en les voyant œuvrer à rebours de toutes valeurs humaines, Dieu lui espère toujours en l’Homme même si tout semble dire le contraire ; il va jusqu’à donner tout ce qu’il a pour les sauver : son amour et sa propre vie…..

A Fénelon Saint-Joseph – Site Aubière, justement nous essayons de toujours croire dans les enfants et les jeunes qui nous sont confiés. Chacun a droit à l’erreur mais chacun peut avoir une nouvelle chance de se remettre en route pour réussir à donner le meilleur de soi.

Cela n’est possible qu’avec un regard bienveillant et inspiré de valeurs profondément humaines inspirées du message salvateur du Christ.

Dans une union avec notre tutelle : les sœurs de Saint Joseph

L’Institut des Sœurs de Saint Joseph est une congrégation religieuse féminine fondée le 15 octobre 1650 par le père Jean-Pierre Médaille en vue de répondre à « toutes les misères corporelles et spirituelles » de leur temps. Elles étaient 14 000 dans une cinquantaine de pays en 2017, regroupées en fédérations dont les plus importantes sont aux États-Unis et au Canada où elles sont plus de 10 000. Elles sont largement anglophones.

Né à CarcassonneJean-Pierre Médaille entre chez les jésuites à l’âge de 16 ans et devient prêtre en 1637. Au cours de ses missions dans le Massif central, ce jésuite rencontre des femmes désireuses de se consacrer à Dieu et de soulager la misère qu’elles côtoyaient. À cette époque, la vie religieuse ne se concevait qu’à l’intérieur d’un cloître or le père Médaille eut l’idée d’accompagner ces femmes en imaginant une congrégation de vie consacrée dans le monde. Une telle audace choqua beaucoup les gens de l’époque ; cependant, il reçut l’approbation et l’appui d’Henri Cauchon de Maupas, alors évêque du Puy-en-Velay (Haute-Loire).

Le 15 octobre 1650, ce dernier donne à la petite congrégation le nom de Saint Joseph, les règles de vie qu’il avait écrites lui donnant ainsi son existence officielle.

C’est avec les femmes que Jean-Pierre Médaille rencontre au cours de ses missions dans le Massif Central et qui veulent s’engager au service des pauvres, qu’il médite son « Petit Dessein » : permettre à ces femmes de se réunir non derrière une clôture mais sous une règle leur permettant de se consacrer à Dieu dans le service du prochain. Il rédige alors les « Constitutions pour la congrégation des Filles de Saint-Joseph », seule doit y être recherchée la gloire de Dieu. Il veut les sœurs « zélées, cachées et pourtant efficaces, réalistes, cordiales et joyeuses ». Vivant de la spiritualité ignatienne, la religieuse entre dans une incessante conversion du cœur et se laisse peu à peu configurer à Jésus-Christ, dans son amour de Dieu et des hommes.

« Dans tes activités, désire seulement que le Dieu de ggfbonté soit glorifié et que le prochain grandisse en amour et en liberté. Avance, libre, face à la réussite ou à l’échec. Dieu t’aime aussi bien dans les échecs que dans le succès », (une maxime du Père Médaille).

Les Sœurs de Saint-Joseph étaient appelées à répondre à toutes les misères corporelles et spirituelles de leur temps.

Dans un lien permanent avec notre paroisse de rattachement

La Paroisse Saint Verny du Val d’Artière

La paroisse Saint-Verny du Val d’Artière est une des 32 paroisses du diocèse de Clermont. Elle recouvre les communes d’Aubière, Pérignat-lès-Sarliève et Romagnat. Ses quatre clochers se situent au chef-lieu de ces trois communes et au village d’Opme, dans la commune de Romagnat. Elle appartient au Doyenné de Clermont. Le nom de notre paroisse fait référence à Saint Verny, patron des vignerons d’Auvergne.

 

Un lien avec la direction diocésaine de l’enseignement catholique

L’enseignement catholique du Puy-de-Dôme se donne pour mission de transmettre ses valeurs fondatrices ; des valeurs sociétales et morales trouvant leurs racines dans l’Evangile.
C’est ainsi que le partage, le respect de l’autre, l’ouverture d’esprit, l’écoute, la solidarité, l’exigence, la créativité, la passion… participent à la réalisation et à l’épanouissement de tous.

Le projet éducatif de l’enseignement catholique du Puy-de-Dôme repose sur l’accompagnement personnalisé de l’élève et sur sa réussite scolaire.

Ce projet se traduit par des conditions de travail privilégiées en termes de suivi, d’implication des enseignants, d’espaces de vie et d’environnement de travail afin d’accueillir chaque enfant et de l’aider à grandir.

Les Orientations Diocésaines pour l’Enseignement catholique de l’Allier et du Puy de Dôme ont été promulguées le 28 juin 2023. Elles sont constituées de trois grands axes.

 

Le dirécteur Diocésain de l'Allier

Il assure, comme délégué de l’évêque, la coordination de l’ensemble des écoles catholiques. Avec ses services, il travaille à la promotion de l’Enseignement catholique du diocèse et le représente auprès des autorités publiques.

Pierre Germain est le Directeur Diocésain depuis la rentrée 2023.

 

 

LE COMITÉ DIOCÉSAIN DE L’ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE (CODIEC)

Au service de tous les établissements catholiques d’enseignement implantés dans le diocèse, le CODIEC détermine, à partir des orientations diocésaines, la politique de l’Enseignement Catholique du diocèse :

  • en choisissant les voies et moyens de la mise en œuvre des orientations diocésaines ;
  • en articulant les priorités diocésaines de l’Enseignement catholique avec les choix arrêtés en CAEC (Comité académique de l’enseignement catholique) et /ou en CREC (Comité régional de l’enseignement catholique)
  • en inscrivant les choix retenus pour l’Enseignement catholique du diocèse dans les perspectives plus larges de l’Enseignement catholique national et de la vie de l’Église universelle.

 

L’ORGANISME DE GESTION (OGEC)

Il est constitué de bénévoles, a la responsabilité de la gestion économique, financière et sociale de l’établissement ; il emploie les personnels de droit privé. Le président de l’OGEC assure, avec le chef d’établissement, la représentation de l’école.